Les SUV polluent et tuent.

 Ce n’est pas nous qui le disons, ce sont les scientifiques.

Et depuis peu, la presse :

« Les SUV : un non-sens climatique », « un fléau pour le réchauffement climatique » ou
« voiture de destruction massive ». « Les SUV vont dans le sens inverse de l’histoire »

En ce mois d’octobre 2019, la presse a découvert, à travers ces titres, les impacts climatiques de la mode des « Sport Utility Vehicles », les SUV, surnommés « Tanks urbains » par les Jeunes Vert-es durant leur campagne nationale visant leur interdiction, en 2004-2006.

Les arguments évoqués n’ont pas changé depuis cette époque, mais il a fallu 15 ans pour que le message des jeunes passe dans le grand public :

Oui, les SUV consomment davantage de carburant que la moyenne (de 25%) et donc polluent plus.

Oui les SUV sont plus larges et plus lourds.

Oui les SUV sont aussi plus dangereux parce que leur capot est plus haut.

Non, les SUV ne sont pas utiles, surtout pas en ville.

 

Oui, conduire un SUV en ville fait de vous un délinquant climatique, de même qu’un abruti.

Ce qui était évident avait besoin de passer par la moulinette des scientifiques pour arriver dans le 20 Minutes : On sait désormais que les SUV sont responsables de la hausse des émissions de gaz à effet de serre du parc automobile, neutralisant tous les efforts réalisés pour les diminuer depuis 15 ans.

Selon l’Agence internationale de l’énergie, ces voitures sont la deuxième cause de l’augmentation des émissions mondiales de CO2 depuis 2010, après l’industrie électrique.

Les conducteurs de SUV, s’ils formaient un pays, seraient le 7e pays émetteur de CO2.


 

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